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2 janvier 2019

Portraits des 5 journalistes gastronomiques français les plus influents

A l’heure du digital, des blogs et des réseaux sociaux, il n’est pas rare d’entendre que tout le monde peut se faire journaliste. Nombreux sont en effet les influenceurs ou blogueurs qui créent du contenu de qualité et qui le diffusent auprès d’une population réceptive et engagée. Pourtant blogueurs, influenceurs et journalistes entretiennent des rôles différents au sein de notre société et si journalistes et blogueurs spécialisés dans la food abordent les mêmes sujets, leurs méthodes de travail et la réception de leurs contenus ne sont pour autant pas les mêmes. Les influenceurs et les blogueurs communiquent en leur nom et diffusent leur contenu au sein de supports médiatiques qu’ils ont créés. Les journalistes, eux, s’expriment au travers d’un média pour lequel ils travaillent et dont ils doivent respecter les valeurs et la ligne éditoriale. La plume journalistique se doit par ailleurs d’être neutre et objective (comme l’indique la Charte d’Ethique Professionnelle des Journalistes rédigée par le Syndicat National des Journalistes), tandis que celle de l’influenceur peut prendre le visage de son auteur et faire vagabonder le lecteur au sein de l’intimité de ce dernier.

Cette différence est fondatrice des relations que ces acteurs médiatiques entretiennent avec leurs lecteurs : les blogueurs et influenceurs nourrissent des relations de confiance avec leurs audiences qui s’identifient souvent à eux, tandis que les journalistes entretiennent une certaine distance afin d’incarner un rôle de prescripteur. En résumé, le journaliste détient un discours de vérité, d’expert, tandis que le blogueur incarne son propos et place son argumentation du côté de l’expérience, de la subjectivité assumée.

Avoir le soutien de ces différents acteurs n’apporte ainsi pas la même valeur aux restaurants. Les blogueurs et influenceurs font bénéficier de leur proximité et donnent une forte visibilité aux établissements qui travaillent à leurs côtés. Les journalistes, eux, permettent de fortement crédibiliser le restaurant et de lui faire gagner en notoriété.

Pour autant, certains journalistes ont réussi à se forger une réputation telle qu’ils endossent ces deux rôles. Devenus de réelles personnalités médiatiques, ils entretiennent des relations privilégiées avec des lecteurs qui lisent leur contenu tout autant pour le nom de leur auteur que pour celui du média dans lequel ils s’ancrent. Inviter l’un de ces journalistes au sein de son restaurant et réussir à le convaincre de la qualité de sa cuisine et de son projet permet donc à son établissement de gagner fortement en visibilité mais également en notoriété.

Alors, qui sont aujourd’hui ces journalistes-star qui mettent les Français en appétit et leurs conseillent les meilleures tables ? Quels sont leurs parcours ? Où travaillent-ils aujourd’hui ?

Voici les portraits des 5 journalistes gastronomiques les plus réputés du moment.

1.François Simon, dit Simon Says

Sa particularité : un critique incognito qui préfère les petits bouis-bouis aux grandes tables

Rares sont ceux qui mettent un visage sur ce nom pourtant célèbre en France. Et pour cause, François Simon est l’un des rares journalistes gastronomiques à encore travailler dans l’anonymat : “J’ai toujours veillé à mon incognito et à mon indépendance…” a-t-il ainsi déclaré à Welcome to The Jungle en octobre dernier.

Pourquoi ? François Simon tient à vivre la même visite que celle de ses lecteurs et à mettre sur papier l’expérience que les clients pourront vivre s’ils se rendent au sein du restaurant dont il fait la critique. Alors, pour ne pas être repéré par ses hôtes il n’a jamais montré son visage et il met en place des stratagèmes pour conserver son anonymat. “Au début je notais tout, tout de suite… mais je me suis rendu compte que j’étais vite repéré (rires). Alors je me suis mis à prendre des livres avec moi : ça me permettait de faire croire que je ne prêtais aucune attention à la nourriture, mais aussi d’annoter dans les marges.” (interview accordée à Welcome To The Jungle, octobre 2018)

Après 40 ans de carrière, et un nombre incalculable de restaurants à son actif, François Simon est bien entendu parfois reconnu par les restaurateurs. Dans ce cas, ces expériences sont pour lui faussées et n’ont pas la même saveur. Alors il privilégie aujourd’hui bistrots et restaurants étrangers dans lesquels il a moins de chance d’être repéré.

Son parcours

François Simon a mené des études de droit avant de devenir permanencier au sein de la rédaction du quotidien Presse-Océan. C’est donc loin du bruit des assiettes que le célèbre critique gastronomique a fait ses débuts dans le journalisme, ce qui n’avait alors rien de surprenant pour son entourage, car la gastronomie n’a jamais été une évidence pour lui. Il était plutôt “pizza et coca” que grandes tables lorsque le très réputé Christian Millau, fondateur du fameux guide Gault et Millau, l’a contacté pour travailler à ses côtés. C’est là-bas qu’il s’est formé aux plaisirs de la table. Là-bas aussi qu’il a aiguisé sa plume et qu’il a appris à peser ses mots avec parcimonie : “Je sais que je suis très critique et que ça peut avoir des effets dévastateursdéclare le journaliste.

François Simon a ensuite voyagé au sein de plusieurs rédactions dans lesquelles il a occupé des postes à responsabilités : rédacteur en chef “Cuisine et Vins de France” du groupe Marie Claire, co-créateur du Figaroscope (aux côtés de Philippe Villin), rédacteur en Chef puis directeur de la rédaction de ce même média, Grand Reporter au sein du Figaro, Madame Figaro et Figaro magazine… font ainsi partie des titres à son palmarès.

Mais il ne s’est pas tenu aux rédactions de presse écrite : le célèbre critique a également travaillé pour la radio et la télévision. Il a ainsi été à la tête de la “Chronique de François Simon” sur Direct 8 ou encore de chroniques estivales au sein de l’émission 28 Minutes d’Arte.

Dans quels médias travaille-t-il aujourd’hui ?

Aujourd’hui, le journaliste collabore au sein de nombreux titres tels que GQ, Vogue Paris ou encore Le Figaro. Il s’attache en somme surtout à “snacker”, dit-il : c’est à dire qu’il développe ses compétences au sein de médias très variés. Il a ainsi créé son blog, Simon Says, qui a reçu le prix du meilleur blog de l’année en 2008 ; il a également lancé un compte Instagram, simonsaysfr, qui compte plus de 15 000 abonnés, ou encore produit une série de podcasts, “J’ai faim”, en collaboration avec MyLittleParis (dont nous vous parlions dans cet article)…

François Simon considère en réalité que l’exercice de longue critique littéraire pour lequel il a été formé et qui l’a fait tomber amoureux de son métier “n’existe plus et n’a plus d’intérêt”. Il participe donc à le réinventer et à lui donner sa place au sein d’une société qui évolue et dans laquelle la tranquillité de l’habitude n’a plus sa place. “Je veille à être intranquille” déclare-t-il en avouant tout de même qu’il ne s’arrêtera jamais d’écrire ce qu’il aime le plus.

2. Emmanuel Rubin

Emmanuel Rubin journaliste gastronomique au Figaro

Sa particularité : le critique culinaire qui a écrit ses premières critiques sans même en être conscient

Fils de restaurateur, Emmanuel Rubin dit être « né dans les casseroles » et avoir cultivé sa passion pour la cuisine depuis sa plus tendre enfance. Il a appris dans les cuisines de ses parents le goût des bonnes choses mais également le goût de leur analyse. Il a en effet rédigé ses premières critiques culinaires sans même en être conscient : enfant il s’amusait déjà à mettre sur papier ses impressions après dégustation de ses plats. C’est de ce jeu d’enfant qu’est née sa plume précise, aiguisée, redoutée mais aussi et surtout admirée par plus d’un restaurateur.

Car il est aujourd’hui l’un des critiques gastronomiques les plus connus et reconnus de France. Et pour cause : il écrit au sein de certaines des pages les plus lues du pays, Le Figaro et Le Fooding.

Son parcours

Emmanuel Rubin a débuté son parcours scolaire par des études de lettres et de journalisme avant de se tourner vers la critique gastronomique. Journaliste iconique du Figaro, il signe sa première critique pour le titre en 1991, dans la rubrique « Figaroscope », spécialisée dans les recommandations de restaurants.

Depuis, il présente chaque semaine ses bonnes adresses dans le supplément du Figaro où il a côtoyé certains des journalistes les plus talentueux, tel que François Simon, créateur du Figaroscope. Il est aussi animateur TV pour BFM Business et a été directeur éditorial des éditions Jalou, qui ont notamment publiées L’Officiel, Jalouse, L’Optimum, L’Officiel Hommes, L’Officiel Voyages…

Il est par ailleurs connu pour avoir co-fondé l’un des guides culinaires les plus réputés du pays : Le Fooding. Avec d’Alexandre Cammas, ils ont souhaité en 2000 bousculer les codes de la critique gastronomique française et mettre sur le même plan assiette et atmosphère du restaurant. Le nom de la célèbre revue n’est ainsi pas due au hasard : il est la rencontre entre les termes « Food » et « Feeling », et il définit ainsi la découverte d’un restaurant comme une expérience sensorielle mais aussi sociale.  

Dans quels médias écrit-il aujourd’hui

Cela fait maintenant près de 25 ans qu’Emmanuel Rubin écrit au sein des colonnes du Figaro, dont il est devenu une figure iconique. Il anime aussi aux côtés de Karine Vergniol Goûts de Luxeune émission diffusée le week-end sur BFM Business et qui s’intéresse aux lieux les plus branchés de la capitale.

3. Estérelle Payany

Sa particularité : une critique multi-médias passionnée de cuisine végétarienne

Estérelle Payany est un véritable couteau-suisse. Auteure de plus de vingt ouvrages de cuisine, cette passionnée de food est également auteure d’un blog à succès, rédactrice au sein de médias de presse écrite reconnus, chroniqueuse radio et télé… Elle y décrypte toutes les grandes tendances food, mais parle avec plus de passion encore de cuisine végétarienne, dont elle a appris tous les rouages.

Son parcours

Estérelle Payany a effectué des études de lettres qui l’ont menée à travailler dans le secteur du web. Son entrée dans le monde culinaire s’est faite grâce à un simple clic : celui de sa souris et qui a lancé le blog estherkitchen dont elle est l’auteure.

La jeune Estérelle a toujours été passionnée de cuisine : au lieu d’écouter en cours, elle dessinait des desserts et inventait en géométrie des tartes qui faisaient ensuite le bonheur de son frère et sa sœur, écrit-elle dans son blog.

C’est pourtant loin des tables et des cuisines qu’elle a commencé sa vie professionnelle : elle travaillait alors au sein d’un grand groupe international. Alors c’est d’abord sur son blog et dans des ouvrages qu’elle a continué à cultiver sa passion. Mais tout s’est accéléré après la publication d’un premier livre aux éditions Librio, qui l’a menée à être contactée par la rédaction du magazine Elle qui lui a donné sa chance en tant que rédactrice. D’autres rédactions telles que Marmiton et Régal ont ensuite suivi l’exemple du média de presse féminine et lui ont proposé de contribuer au contenu de leurs pages food. Estérelle pouvait alors enfin vivre de sa passion : l’écriture et la cuisine.

Mais son succès médiatique n’a pas éloigné la journaliste de son amour pour les fourneaux : l’année dernière elle a en effet empoché son CAP cuisine et ainsi complété son parcours aussi exemplaire qu’atypique.

Au sein de quels médias travaille-t-elle aujourd’hui ?

Après avoir travaillé pendant 10 ans pour Elle, Estérelle Payany a débuté une activité fructueuse de journaliste indépendante. Elle écrit désormais toutes les semaines au sein des pages Restos de Télérama Sortir, et contribue également au sein des pages de Télérama, du magazine Régal et de 3 étoiles.

Elle a aussi ajouté plusieurs cordes à son arc et intervient régulièrement à la radio dans l’émission « On va déguster » sur France Inter. On a également pu l’apercevoir comme juge au sein de l’émission Un Chef à l’oreille diffusée pendant l’hiver 2017 sur France 2. Plus récemment, c’est sur Netflix en tant qu’ambassadrice française au sein du show “Tout le monde à table” qu’on a pu la voir.

4. François-Régis Gaudry

Sa particularité : le critique culinaire préféré des Français qui lie alimentation et questions sociétales

François-Régis Gaudry est à l’heure actuelle l’un des critiques gastronomiques les plus médiatisés en France. Le journaliste est en effet à la tête de deux des émissions culinaires les plus populaires du moment : l’historique On va déguster sur France Inter, qui réunit chaque dimanche plus d’un million d’auditeurs, et le magazine télévisuel Très Très Bon diffusé sur Paris Première, qui a participé au redressement de la chaîne grâce à l‘augmentation progressive de son audience.

C’est aussi un journaliste engagé qui considère que la nourriture est affaire de société. Ses sujets journalistiques mêlent donc toujours gastronomie et débats sociétaux. Comment bien manger, mieux manger, avec un budget restreint ? Comment s’assurer de la qualité et de la provenance de ses produits ? Voilà les questions que traitent le critique qui considère que le journaliste gastronomique doit jouer un rôle précis dans la société pour y trouver sa place« L’alimentation est au cœur de toutes les problématiques sur la mondialisationSommé de s’intéresser à ces questions, le critique gastronomique dépasse la dimension gustative, donc la futilité. » a déclaré le chroniqueur à L’Obs.

François-Régis Gaudry s’intéresse ainsi tout autant aux grandes tables qu’aux meilleurs sandwichs jambon-beurre du pays. Mais c’est aussi loin des tables que le journaliste passe du temps : il part en effet régulièrement à la rencontre de petits producteurs français qu’il s’attache à mettre en avant et à revaloriser aux yeux de ses lecteurs ou spectateurs, et c’est certainement l’une des missions qui le passionnent le plus. « Les engagés, les sentinelles du terroir m’émeuvent, avoue Gaudry à l’ObsTrès isolés, ces cabossés de la vie habités par leur passion sont les locomotives des nouvelles générations, celles qui veulent croire à une meilleure alimentation. ».

Son parcours

« Chez moi, on débattait dès le petit déjeuner de ce qu’on mangerait au déjeuner, et dès le déjeuner de ce qu’on avalerait au dîner ». François-Régis Gaudry a appris dès petit à apprécier les bonnes choses. Le journaliste, revenant sur les origines de son amour de la cuisine, déclare que c’est sa mère qui lui a inculqué le goût des “produits de la terre”, tandis que son père lui aurait fait parcourir la France pour découvrir les meilleures adresses du Michelin.

L’art de l’écriture, c’est sur les bancs de SciencesPo qu’il l’a cultivé. C’est en stage pendant son cursus scolaire qu’il a d’abord fait ses premiers pas au sein de l’un des plus célèbres médias spécialisés de France : le Guide du Routard. Il voyage grâce à lui au sein de nombreux pays dans lesquels il apprécie les cultures culinaires et les meilleures tables. Il contribue alors à la réactualisation de plusieurs titres et rédige ses premières critiques gastronomiques.

C’est ensuite au Fooding qu’il fait grandir sa plume. Il y a fait ses preuves dès les premières années du titre avant d’entrer à la rédaction de L’Express où il prend en charge les pages “Saveurs”. Il deviendra ensuite critique gastronomique du titre, puis rédacteur en chef adjoint et enfin Grand Reporter.

Son parcours est pourtant loin de se restreindre à la presse écrite. Il fait dans un premier temps ses preuves au sein d’Europe 1 où il anime une chronique “Saveurs et consommation” tous les jours de la semaine. Mais sa consécration se fera sur France Inter où on lui propose d’animer le temps d’un été une émission gastronomique, On va déguster, qui, forte de son succès, sera installée de façon hebdomadaire sur la grille de France Inter quelques années plus tard et diffusée tous les dimanches midis.

Le succès de cette émission, qui bat régulièrement des records d’audience, mène naturellement François-Régis Gaudry a passé de la radio au média préféré des Français, la télévision, pour parler cuisine et bons produits au plus grand nombre.

Au sein de quels médias travaille-t-il aujourd’hui ?

François-Régis Gaudry passe toujours au peigne fin certaines des plus belles adresses de Paris au sein de l’Express.

Il est également à la tête d’On va déguster sur France Inter où il parle gastronomie et cuisine du terroir aux côtés d’invités divers (grands Chefs, jeunes talents, petits producteurs, cinéastes… y défilent chaque dimanche). Il est accompagné de nombreux chroniqueurs qui se donnent le mot tels qu’Elvira Masson, Dominique Hutin ou encore Estérelle Payany.

Il présente également toujours son émission télévisuelle Très Très Bon sur laquelle il partage avec ses téléspectateurs les bonnes adresses de ses chroniqueurs. Elvira Masson y détecte ainsi les lieux où se rendre pour les douceurs salées, Mina Soundiram présente les adresses street-food, Valentine Oudard fait découvrir les bouis-bouis parisiens tandis que Philippine Darblay se rend dans les marchés…

5. Raphaële Marchal

Sa particularité : la blogueuse foodie soutenue par les plus grands

Raphaële Marchal a débuté avec la création de son blog avant d’être propulsée sur le devant de la scène médiatique culinaire française. Soutenue par les plus grands, tels que François Simon, elle a réussi à s’imposer au sein de médias de renom.

Son parcours

La cuisine a toujours été une obsession pour Raphaële Marchal. Après quelques tentatives au cœur des cuisines de plusieurs restaurants, celle qui deviendra par la suite blogueuse s’est rendue compte qu’elle était “plus fascinée par les gestes et les histoires des cuisiniers que par son propre fouet.” (blog Raphaële Marchal).

Elle a donc créé le blog En Rang d’Oignons qui a rencontré un succès immédiat et a été élu meilleur blog gastronomique de l’année 2014 par les Golden Blog Awards. Cette consécration marque le début de sa carrière médiatique : dès le lendemain le très célèbre Guide Michelin la contacte pour lui proposer d’écrire pour leur webzine. Puis s’ensuit l’appel de nombreux autres médias de renom dans le secteur de la gastronomie : Fou de Pâtisserie, Fou de Cuisine et même Le Fooding se pressent pour lui proposer une place au sein de leurs pages.

Après les médias de renom, ce sont les critiques gastronomiques eux-mêmes qui la sollicitent pour travailler à leurs côtés. Elle a ainsi par exemple participé à l’émission Paris Dernière du très grand François Simon.

Mais Raphaële Marchal n’oeuvre pas uniquement au sein du secteur médiatique. Elle a également monté son entreprise d’événementiel spécialisée dans la gastronomie. Elle l’a lancée en mars 2015 avec la création d’un premier événement auquel ont répondu une cinquantaine de Chefs de renom tel que Guillaume Sanchez, ancien candidat talentueux de l’émission Top Chef. Fort de ce succès, la jeune foodie s’est lancée dans l’entrepreneuriat et jongle aujourd’hui entre organisation d’événements gastronomiques et écriture.

Au sein de quels médias travaille-t-elle aujourd’hui ?

Aujourd’hui, Raphaële Marchal est pigiste au sein de nombreux médias tels que Fou de Pâtisserie, Fou de Cuisine ou encore C8 et BFM TV. Elle est également gestionnaire d’un compte Instagram qui réunit près de 40 000 abonnés, et rédactrice de son blog lancé en 2014.

Conclusion

François Simon, Esterelle Payany, Emmanuel Rubin, François-Régis Gaudry et Raphaële Marchal nourrissent nos médias français de critiques aux parfums sucrés ou salés. Fortement médiatisés, ils ne sont pour autant pas les seuls à partager leurs bonnes adresses, leurs petits bonheurs gastronomiques ou leurs déceptions culinaires. L’on pourrait également citer les très talentueux Gilles Pudlowski, Mina Soundiram, Sébastien Demorand, Stéphane Méjanès, Périco Légasse, Nathalie Helal, Colette Monsat, Elvira Masson, Valentine Oudard ou encore Philippine Darblay qui ont réussi eux aussi à imposer ces dernières années leurs noms au sein du cercle très restreint de journalistes gastronomiques réputés.

Convaincre ces acteurs médiatiques reconnus à venir déguster sa cuisine, et réussir à les séduire assure à un restaurant une forte hausse de notoriété et de crédibilité. 

Mettre en place une stratégie de relations presse pertinente demande un travail poussé de veille afin de détecter les contacts les plus pertinents pour son établissement. Il est important de trouver les médias les plus intéressants pour son restaurant, mais également les bons interlocuteurs au sein de ces titres.

Nous expliquions par ailleurs que les relations presse sont à penser en binôme avec le marketing d’Influence. Ces deux activités se complètent et permettent d’attirer de nouveaux clients au sein de son restaurant. Les influenceurs et blogueurs sont en effet eux aussi d’excellents collaborateurs. Afin de s’assurer de collaborer avec les bons interlocuteurs, nous partagions dans cet article une liste de conseils pour détecter les faux influenceurs, et dans celui-ci une liste d’influenceurs auxquels se fier pour mettre en place une stratégie de marketing d’Influence pertinente.

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